Notre équipe

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« Le seul véritable voyage, le seul bain de jouvence, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux.»

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Marie

Après des études en art et histoire médiévale, Marie Giffo entame sa carrière par la gestion de politique culturelle du Logis de la Chabotterie, site historique vendéen. En devenant maman, elle met en pause sa vie professionnelle, puis décide de répondre au devoir de mémoire qui l’appelle et réveille la marque fondée par son aïeul. Grande romantique au cœur battant et passionné, Marie met son savoir-faire et son ambition au service de sa maison. 

 

Marie est le fruit d’un double héritage. Celui de son papa, d’abord, descendant du fondateur historique Alexis Biette, qui lui a transmis le goût de l’élégance et des belles choses. Celui de sa maman, ensuite, qui lui a légué la créativité bourguignonne, l’amour de la nature, du travail et du parfum de la vigne. Tout cet univers du beau, du vrai, du tangible, a contribué à forger son caractère et à affiner ses goûts.

 

Petite, au contact de sa grand-mère, artiste dans l’âme pour qui tout était source d’inspiration et de ravissement, Marie écoute La mort du loup, raconté par Gérard Philippe, participe à des concours de poésie, s’improvise actrice de théâtre et chante avec elle Gilbert Bécaud. Quand vient Noël, elle fabrique avec ses cousins les décors d’une scène féérique, et sur le grand ciel peint, sa grand-mère veille à ce que la disposition des étoiles, comme dans la réalité, n’ait rien de prévisible. C’est de cette heureuse période que Marie tire son amour de l’art.

 

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Marielle

Petite, Marielle passe ses vacances chez sa grand-mère à Sète, aux portes de la garrigue. Dans cet environnement chaleureux et familier, elle s’adonne à son passe- temps favori : fabriquer de l’eau de lavande, qu’elle essaye ensuite de vendre aux passants. Sans qu’elle ne s’en rende compte, une vocation naît là, entre les chênes verts et le romarin, au milieu des odeurs enivrantes du sud. Depuis, grâce à un parcours scolaire scientifique, Marielle a significativement amélioré la qualité de ses productions et exerce un métier-passion : celui d’évaluatrice de parfums. Après un passage obligé par de longues mais formatrices études de chimie, Marielle entre à l’ISIPCA pour étudier la parfumerie et la cosmétique.

 

C’est une révélation. Pour la première fois, elle prend plaisir à apprendre, et son bien-être est décuplé par la curiosité qu’elle éprouve pour son environnement. Entre deux séances d’évaluation de matières premières et de parfums de grandes marques, elle arpente les quartiers de Paris pour en découvrir chaque recoin.Au fur et à mesure, Marielle se construit à travers de multiples expériences, toujours liées à l’artisanat. Ainsi, elle expérimente tour à tour la parfumerie fonctionnelle, le développement de parfums, et passionnée par les belles choses, monte même sa propre bijouterie. 

 

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En 2020, un article décrivant le projet de Marie la ramène à ses premières amours. Pour AB 1882, Marielle manipule les senteurs et les ingrédients, créant des recettes uniques, à la manière d’un enchanteur qui ne révèle jamais ses secrets. Alliant la rigueur du technicien et l’inventivité du créateur, Marielle évolue à son aise dans l’univers de cette marque singulière. Fascinée par son histoire et par les archives qui ont résisté au temps comme autant de témoins d’une époque révolue, elle prend très à cœur le défi qui lui incombe : adapter la marque aux tendances actuelles sans rien perdre de son essence originelle.

 

Pour y parvenir et nourrir sa créativité, elle n’hésite pas à se tourner vers l’art, et notamment vers la peinture de Pierre Soulage, qui lui rappelle à quel point une apparente simplicité peut cacher une magnifique complexité et beaucoup d’élégance. À la fois douce et pétillante, créative et opiniâtre, généreuse et dévouée, Marielle navigue entre ses différentes sensibilités pour élaborer des parfums qui ressemblent aux femmes d’aujourd’hui. Convaincue que chaque jour (exceptionnel ou ordinaire !) mérite que l’on se parfume, elle s’inspire autant des matières premières que des grands parfumeurs pour créer de l’harmonie dans toutes les situations du quotidien. Pour Marielle, l’olfactif est le sens privilégié, celui qui segmente la mémoire, ravive les souvenirs et provoque les plus belles émotions : il convient donc de le choyer

 

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Sarah

Parfumeur au parcours atypique, Sarah a

étoffé son parcours d’expériences enrichissantes dans la création. Après s’être formée en chimie et en cosmétologie, elle a suivi sa voie en se consacrant à l’apprentissage de la création de parfums auprès de parfumeur s de renom à l’ISIPCA. Elle a ensuite ajouté à son cursus une formation à l’école Boulle en design d’intérieur afin de créer des parfums répondant olfactivement aux matériaux, aux couleurs, à la sensorialité des lieux à parfumer. Sa dernière expérience dans une société spécialisée en parfumerie naturelle lui a permis de développer ses compétences dans ce domaine passionnant, riche en challenges et permettant d’offrir au consommateur une expérience à la fois hédonique et rassurante.

 

La curiosité olfactive est son maître mot, elle aura à cœur de partager avec vous son univers passionnant. L’univers haute qualité, esthétique et affirmé de la marque, son histoire nantaise et le projet de la faire renaître l’a touchée. Écrire les nouveaux parfums de la maison AB 1882 en version solide représente un vrai challenge, à la fois humain, technique et moral, par l’exigence des créations mais aussi l’engagement en faveur d’une parfumerie signée naturelle, française, éthique et durable. Tout cela rejoint à la fois ses convictions et son expérience.

 

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Stéphane

Stéphane Piquart est sourceur de matières premières. Pas celles qui se mangent, mais celles qui se sentent. Son métier ? Chercher, à travers le monde entier des senteurs insolites qu’il vend ensuite à l’industrie du parfum. Sa particularité ? Il piste les plus douces effluves de façon durable, éthique et respectueuse des hommes qu’il rencontre. Concrètement, comment ça se passe ? Stéphane Piquart aime s’entourer d’ONG avant de se lancer dans la découverte d’une nouvelle matière première. Des organismes qui viennent à lui en lui présentant une problématique, liée à un territoire géographique et à des personnes. Et là où il y a des personnes, il y a des histoires. « Mon rôle, en plus d’aller chercher les matières premières, c’était d’aller chercher les histoires » confirme-t-il. Son métier ? « C’est de rassembler deux cultures complètement différentes, pour qu’elles se comprennent« . D’un côté, il y a les tribus qu’il rencontre partout dans le monde, chez qui il découvre des senteurs typiques. De l’autre, le monde de la parfumerie à qui il vend ces fragrances. Deux mondes, deux réalités entre lesquelles il construit des ponts. 

En 2007, Stéphane Piquart crée sa société, dont le nom fait référence aux verbes anglais  « to be » être, « to have » avoir et « to behave » bien se comporter. Un nom qui sous-entend un comportement exemplaire dans une industrie du parfum qui ne l’est pas toujours et qui s’appuie sur les valeurs et des méthodes de travail qu’il a acquises et appliquées jusqu’à présent. « Je voulais rester dans cette même philosophie, explique le sourceur, parce que vendre une matière qui est respectueuse de l’environnement et du producteur, c’est quand même plus agréable que de vendre une matière qui déforeste ou qui ne respecte pas l’humain. »

Depuis 2021, c’est aux portes sud de Nantes sur le territoire de Grandlieu que Stéphane mène ses explorations en partenariat avec AB 1882 et en vue de valoriser les essences locales dans les parfums de la marque.

Les premiers essais sur des fleurs autochtones sont concluants… aventure à suivre et à sentir prochainement !

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Catherine

L’amour du travail bien fait. Voici peut être ce qui caractérise le plus Catherine, maroquinière d’art et fondatrice en 2018 de la marque Mauve et Fauve. Manchettes, sacs à main, petite maroquinerie haut de gamme mais aussi toutes les finitions cuirs et les marquages de nos écrins naissent dans l’atelier de Catherine, installé à coté du nôtre. Dans le silence et l’odeur du cuir upcyclé issu des stocks dormants que Catherine va chercher à Cholet, ses doigts travaillent patiemment la matière pour révéler les parfums de celle qui va porter nos écrins. Son goût certain pour les jolies choses s’accompagne d’une grande humilité venu de sa première expérience professionnelle dans le domaine viticole.

Longtemps avant 2018, Catherine a tenu un domaine viticole aux portes de Nantes, en AOC Muscadet Côte de Grandlieu. Là, elle a appris que le temps donne la valeur aux choses, que le savoir-faire s’acquiert à force de persévérance et que la nature reste maîtresse, toujours.

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